«Au début, on nous prenait un peu pour des guignols, se remémore Anaël Bibard, cofondateur de Farmleap. Maintenant, on travaille avec de nombreuses coopératives ! » La start-up fonctionne comme une sorte de Ceta digital pour aider au pilotage de l’exploitation. Au départ, Farmleap a commencé à travailler en s’adressant en direct aux agriculteurs. « Ce fut un échec, reconnaît Anaël Bibard. Notre solution est basée sur l’intelligence collective, sur le groupe. » Une explication tenant donc au service proposé, mais aussi à l’accès au marché, verrouillé, selon le startupeur. Aujourd’hui, « nos clients, ce sont les partenaires des agriculteurs : coopératives, négoces, Syngenta, McDonald’s… » Farmleap n’est pas la seule à avoir changé de braquet.
Contenu réservé
Conseil agricole : un écosystème en ébullition Les start-up ont choisi les partenariats

Face à la difficulté de percer dans l’écosystème agricole, nombre de start-up ont choisi de travailler en partenariat avec d’autres acteurs, en particulier la distribution.
581
Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution
Si vous êtes abonné,
cliquez ici
pour vous connecter et poursuivre la lecture
20 %
Vous avez lu 20 % de l'article
Poursuivez la lecture de cet article
en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)

- Accédez à nos articles
- Profitez du contenu de notre application
- Recevez nos newsletters
- Recevez chez vous 1 numéro de notre revue