©CHRISTIAN WATIER ARCHIVES

De leur étude de la séparation conseil et vente pour les produits phytosanitaires, les députés Dominique Potier et Stéphane Travert ont conclu que « le statu quo n’était pas envisageable ». Tour d’horizon, avec la profession, des évolutions possibles.

« La fin de la séparation vente et conseil se profile, puisque tout le monde admet qu’on peut parler d’un échec », résumait le député Dominique Potier lors de l’audition de La Coopération agricole, le 25 octobre. Après la publication mi-juillet du rapport qu’il a corédigé avec Stéphane Travert sur la séparation conseil et vente pour les produits phytosanitaires, le député est maintenant rapporteur de la commission d’enquête parlementaire sur l’échec des plans Ecophyto, présidée par Frédéric Descrozaille, et pour laquelle LCA, comme la FNA, était auditionnée. Beaucoup de questions sont encore en suspens sur l’avenir de la séparation. Le gouvernement reviendra-t-il vraiment dessus ? Si oui, via quel texte législatif, et à quelle échéance ? Dans leur rapport, Dominique Potier et Stéphane Travert ont ouvert des pistes de réflexion. Pour permettre aux vendeurs de refaire du conseil spécifique, ils proposent de revenir sur la séparation capitalistique, mais avec création d’une filiale dédiée, séparation des facturations, et équipes distinctes.

La filialisation ne convainc pas

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