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Les innovations « d'épargne » s'affichent durable

Notre dépendance aux importations de protéines motive les recherches d'économie. Un bénéfice durable, car « l'épargne » protéique influence également l'impact environnemental des formules.

Une protéine non digérée va terminer dans les fientes, fumiers ou autres lisiers. Cette fraction « perdue » va de surcroît être rapidement dégradée en ammoniac, nitrates... Outre l'impact économique d'un apport excessif de protéines, l'inadéquation entre apport et besoin se répercute donc sur l'environnement. Inutile de dépenser plus qu'il n'est absolument nécessaire. Le progrès continu des indices de consommation illustre combien les nutritionnistes prennent en compte ce message. Ce ratio, qui mesure la conversion de la quantité d'aliments consommés en poids vif corporel, est en effet passé, entre 1970 et 2010, de 2,20 à 1,80 pour le poulet de chair standard. Cette amélioration reflète l'amélioration génétique et des conditions d'élevage, en plus de celle de l'alimentation. Elle se poursuit aux environs de 0,03 par an.

Ajustements nutritionnels

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