Adopter une « discipline de filière » entre les fabricants, la distribution et les agriculteurs, pour soutenir l’outil industriel français de production d’engrais. Ceci dans l’intérêt partagé de garantir la disponibilité des fertilisants, la maîtrise des prix, la souveraineté alimentaire nationale et les intérêts de l’écologie. Telle est l’ambition affichée par l’Unifa (Union des industries de la fertilisation) lors de son assemblée générale, le 1er juin, à Paris. Pour en débattre, l’organisation avait convié autour de la table plusieurs représentants des agriculteurs et des filières agricoles.
Le chemin de la souveraineté française des fertilisants pourrait passer par une « discipline de filière » qui intégrerait la distribution et les agriculteurs.
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