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Les organiques secoués

R. Fourreaux
R. Fourreaux

La nouvelle réglementation interdisant les effluents d’élevages industriels en bio et l’arrivée concomitante de produits d’importation douteux vient bousculer le secteur de la fertilisation organique.

L’année 2021 n’aura pas manqué d’être sportive dans le secteur de la fertilisation organique. Et ceci dès le 1er janvier, date depuis laquelle les effluents issus d’élevages intensifs de volailles ou de porcs ne doivent plus être épandus sur des terres engagées en agriculture biologique. En l’absence d’une définition harmonisée d’élevages intensifs ou industriels en Europe, toujours en cours de discussion, des seuils temporaires ont été mis en place en France. Cela concerne les élevages comprenant plus de 85 000 emplacements pour poulets, 60 000 emplacements pour poules, 3 000 emplacements pour porcs de production et 900 emplacements pour truies. Les digestats issus de méthaniseurs composés de tout ou partie de ces effluents ne sont plus utilisables en bio non plus.

Fientes et lisiers exclus du bio

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