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Pourquoi une telle suprématie des variétés de blés panifiables ?

Assurément, il existe une inadéquation entre la sole de blé cultivée et les différents débouchés visés. L’ultra-domination des variétés panifiables pose question.

1L’inscription variétale orientée

Incontestablement, sous l’influence de la meunerie, le poids attribué au test de panification et à l’alvéographe de Chopin dans le processus d’inscription variétale a historiquement favorisé des blés panifiables, convenant parfaitement à la panification à la française. Or la meunerie française ne représente plus que 11 % des débouchés du blé français, voire 7,5 % pour la seule panification, quasiment la même part que le blé fourrager vendu au Benelux ! « On peut quand même englober dans les débouchés meuniers l’amidonnerie et une grande partie de l’export », nuance Benoît Méléard, responsable du pôle qualité technologique chez Arvalis. Des variétés non panifiables peuvent toutefois être inscrites au CTPS et classées BAU, à condition qu’elles soient très productives, à 107 % minimum des références du moment.

2Les OS ne jurent que par les BPS

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