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Environnement : les engrais uréiques en ligne de mire

Urée et solution azotée sont sous les feux de la rampe pour leur implication dans la pollution atmosphérique.

De plus en plus de régions du monde appliquent une surveillance accrue de l’utilisation des engrais. L’Europe n’y échappe pas, et après des décennies de focus sur le lessivage de l’azote via la directive nitrates, elle jette aussi son dévolu sur la qualité de l’air. En 2016, l’agriculture a contribué à 94 % des émissions françaises d’ammoniac (NH3), ce gaz précurseur des particules fines, nocives pour la santé. En France, un quart des émissions métropolitaines de NH3 sont liées à l’apport d’engrais azotés minéraux, d’après l’inventaire national réalisé par le Citepa (Centre interprofessionnel technique d’études de la pollution atmosphérique).

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