Lorsque le conflit entre la Russie et l’Ukraine a été déclenché le 24 février dernier, la priorité́ des entreprises semencières françaises présentes sur place a été d’assurer la sécurité de leurs salariés. La coopérative Euralis, par exemple, qui possède une usine à Tcherkassy, à 200 km au sud de Kiev, avait anticipé l’escalade de violences en rapatriant avant même le début de l’invasion ses collaborateurs français et leurs familles. Dès le 24 février, elle a pris la décision de fermer son usine.
Arrêt des usines, livraison de semences compliquée, baisse des surfaces de consommation et surtout de production de semences, la guerre en Ukraine impacte fortement le secteur des semences sur place, mais a aussi des répercussions en France. Par Blandine Cailliez
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