Evaluer l’efficacité des produits inspirés du vivant comme les biostimulants est sans doute l’un des plus grands défis de la transition attendue vers l’agroécologie. La difficulté est notamment liée au fait qu’ils produisent des effets non pas directement sur un problème, mais de façon indirecte par des interactions dans les sols ou la plante. L’évaluation de ces biosolutions relève donc bien d’un « grand défi (1) », pour reprendre le terme du programme de recherche national dont le pilotage a été confié à l’association biocontrôle et biostimulation pour l’agroécologie (Abba).

De par leurs modes d’action, les biostimulants méritent une approche expérimentale adaptée. L’enjeu est tout autant de séréniser la vente du produit que de repérer des solutions viables pour sortir du tout chimique.
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