Contenu réservé

Stimuler l’évaluation des biostimulants

« Avec les biostimulants, on gère une exposition au climat et non directement un risque. Cela change tout dans le mode d’évaluation », insiste Didier Renard, expert protection des plantes au sein de NatUp.
« Avec les biostimulants, on gère une exposition au climat et non directement un risque. Cela change tout dans le mode d’évaluation », insiste Didier Renard, expert protection des plantes au sein de NatUp.

De par leurs modes d’action, les biostimulants méritent une approche expérimentale adaptée. L’enjeu est tout autant de séréniser la vente du produit que de repérer des solutions viables pour sortir du tout chimique.

Evaluer l’efficacité des produits inspirés du vivant comme les biostimulants est sans doute l’un des plus grands défis de la transition attendue vers l’agroécologie. La difficulté est notamment liée au fait qu’ils produisent des effets non pas directement sur un problème, mais de façon indirecte par des interactions dans les sols ou la plante. L’évaluation de ces biosolutions relève donc bien d’un « grand défi (1) », pour reprendre le terme du programme de recherche national dont le pilotage a été confié à l’association biocontrôle et biostimulation pour l’agroécologie (Abba).

1 Changer de carte mentale

1264

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
7 %

Vous avez lu 7 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue

Sur le même sujet

À Thénac (Charente-Maritime), Alexandre Grenot, agriculteur, Hervé Guitton, directeur activités des territoires chez Océalia, Kévin Larrue, directeur stratégie innovation, et Matthieu Denier, directeur agrofournitures, ont dressé début juillet le bilan de la première campagne de lancement de l'offre Xarvio Healthy Fields.

Explorer l’économie de la fonctionnalité

Pas d’adoption sans formation

Damien Cariou (Syndev) et Ludivine Manoury (Andermatt), lors de nos 19es rencontres Agrodistribution, à Saint-Ouen.

Accompagner les équipes terrain

Martin Magne (au centre), directeur développement, Gilles Albertos, directeur commercial, et Géraldine Clémente, responsable technique et cheffe des ventes, développent le projet Vision.

Magne, une vision guidée par les biosolutions

« Mon objectif est de pérenniser l’entreprise en développant nos volumes et notre propre gamme car je veux que LEA devienne une marque technique reconnue pour sa fiabilité tout en restant une entreprise familiale », appuie Stéphane Armetta. Le négoce à la une
Diplômée de l’Esa d’Angers, Anne Fauvel, 50 ans, a rejoint Eurial en mai 2011 après avoir travaillé pour Savencia et Lactalis.

Anne Fauvel bientôt à la tête d’Eurial

Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre