L’adoption des biosolutions repose autant sur leur efficacité que sur la manière dont elles sont conseillées. « L’échec des SDP (stimulateurs de défense des plantes) en est l’exemple. Utilisés comme des fongicides, donc mal positionnés car mal conseillés, ils ne se sont pas développés », rappelle la formatrice Marie-Emmanuelle Saint-Macary. Damien Cariou, fondateur de Syndev, abonde : « L’échec d’une biosolution est dans 50 % des cas dû à un mauvais positionnement, et dans les 50 % restants à une mauvaise évaluation. » C’est pourquoi la méthodologie d’évaluation des biosolutions, héritée d’une approche phytosanitaire, doit être repensée.
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Adapter le discours, la méthode d’évaluation, les outils… L’intégration des biosolutions dans l’offre bouscule les modèles historiques. Et pour ne laisser personne à quai, l’accompagnement est la clé.
2024
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