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EPI : encore du potentiel à impulser

Sébastien Cambier, ingénieur au service agronomique et référent réglementaire et enjeux agro-environnementaux chez Unéal.
Sébastien Cambier, ingénieur au service agronomique et référent réglementaire et enjeux agro-environnementaux chez Unéal. ©Unéal

Les agriculteurs prennent de plus en plus conscience de l’intérêt des équipements de protection individuelle, pourtant notre baromètre Agrodistribution-ADquation montre que le recours n’y est toujours pas systématique. Pour accélérer leur adoption, de nombreuses initiatives voient le jour, et la distribution a un rôle déterminant à jouer dans cette dynamique.

Le port d’équipements de protection individuelle (EPI) par les agriculteurs est indispensable lors de la manipulation des produits phytosanitaires. Du moins en théorie. Dans la pratique, ils restent souvent au placard, et ce malgré l’arrivée d’une nouvelle génération d’EPI. Leur adoption par les agriculteurs progresse à un rythme « encore trop lent », selon Émeric Oudin, DG d’Axe-environnement. « Le marché est actuellement proche de 10 M€, alors que son potentiel est estimé à près de 80 M€. Il reste un long chemin à parcourir pour sensibiliser les agriculteurs à l’importance de ces équipements et notre défi, aujourd’hui, c’est de transformer la “contrainte” qu’ils représentent en opportunité », affirme-t-il.

Les gants bien positionnés

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