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Pour la FNA, l’État s’improvise conseiller phytos

Pour Antoine Pissier, président de la FNA, la start-up fait du conseil phytos, ce que réfute Maud Blanck, experte métier pour Peps.
Pour Antoine Pissier, président de la FNA, la start-up fait du conseil phytos, ce que réfute Maud Blanck, experte métier pour Peps.

Le 27 septembre, la Fédération du négoce agricole s’est insurgée de la mise en ligne de la start-up d’État Peps, accusant l’État de s’improviser conseiller phytos. Explications, et réponses de la start-up.

Pour Antoine Pissier, président de la FNA, « c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase ». La mise en ligne de la start-up d’État ne passe pas auprès des négociants, qui l’accusent de conseil phytos « sans même aller sur le terrain », sans numéro d’agrément, et en véhiculant des messages qui viennent « attiser un peu plus la défiance envers la distribution et le monde agricole ».

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