La marge de manœuvre pour atténuer les émissions de GES de l’agriculture est étroite. Cela ne peut se faire sans la mise en place de pratiques répondant à trois grands axes de travail. Le premier concerne l’optimisation des pratiques d’élevage, notamment bovin, pour restreindre les émissions de CH4 ainsi que de N2O. Pour cela, il est nécessaire de jouer sur plusieurs points : l’adaptation des rations, la conduite du troupeau ou encore la gestion des effluents.
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Un savant équilibre entre émissions et séquestration

L’agriculture doit composer entre la réduction limitée de ses émissions et son fort potentiel de séquestration du carbone.
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