Des débats et négociations qui tournent au vinaigre... Si l'enthousiasme était de mise au lancement des EGalim il y a maintenant plus d'un an, la tournure de la loi alimentation promulguée le 1er novembre déçoit et indigne. Les métiers de distributeurs, mais aussi d'OS des coopératives et négoces, se retrouvent visés par plusieurs articles et annoncent de profonds bouleversements des activités. Première disposition appliquée dès ce 1er janvier 2019, la fin des 3R, ces fameux remises, rabais et ristournes. Suivra dès ce printemps la prise en compte d'indicateurs de prix ou de coûts de production dans les contrats, dans le cadre de l'article 1er. « Le chantier, déjà en cours, consiste à travailler avec l'ensemble de la chaîne pour trouver des indicateurs de prix et de coûts de production pertinents et pas déconnectés. Il va falloir les valider au sein des interprofessions dans les prochaines semaines », explique Damien Mathon, qui aura été de tous les débats en 2018, avant de laisser la main à Isabelle Guédra en 2019.
2018 aura été marquée par les discussions autour des EGalim et la loi alimentation.En 2019, premières mises en application et bouleversements des activités s'annoncent.
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