Alors que la crise ukrainienne n’a fait que fragiliser davantage, in fine, l’industrie européenne des engrais, la nutrition végétale des cultures est un domaine qui n’a jamais été aussi polymorphe et interconnecté. Tout ou presque pousse la pratique agronomique à combiner les différentes approches de la fertilisation minérale et organique et de la biostimulation. La vie des sols et des plantes bien sûr, en quête d’un meilleur équilibre. La science, qui sait désormais se rendre plus accessible aux agriculteurs. L’inflation, qui pousse à tirer parti au mieux de la valeur de toutes les ressources disponibles. Et le climat, qui incite à trouver des leviers pour gérer les fameux stress abiotiques et diminuer l’empreinte carbone.
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