En 1988, Max Havelaar créait ses premières filières équitables afin de contrer à la fois la volatilité de cours fixés par les marchés internationaux et la pression constante sur les prix sans considération pour les coûts de production réels. Trente ans plus tard, la branche française de l’ONG, arguant que « le métier d’agriculteur ne garantit même plus le salaire minimum », s’ouvre aux producteurs hexagonaux via une démarche pilote. « Alors que tout le monde parle de garantir un prix juste, transparent et supérieur aux coûts de production à l’agriculteur, nous le proposons aujourd’hui concrètement en France et de façon territorialisée pour le lait et le blé », traduit Blaise Desbordes, DG de Max Havelaar France. Ceci en s’appuyant sur les méthodes utilisées pour soutenir les paysans vulnérables des pays du Sud.
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Commerce équitable Max Havelaar au chevet des céréaliers français vulnérables
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Le porteur du célèbre label Fairtrade expérimente un dispositif innovant envers les producteurs de blé les plus fragiles. Vivadour et Coop de Mansle s’engagent dans cette démarche pilote dont les débouchés restent à finaliser.
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