Avec des −13, voire −17 % comme en pintades ou en canard, en caille et en pigeons, certains segments de la nutrition animale très dépendants de la restauration ont fortement souffert durant le premier confinement. Très inquiets par le nouveau train de mesures sanitaires, ils pourraient souffrir encore plus, alors que les fêtes de fin d’année approchent dans une ambiance assez peu festive. Et cela, malgré les 3 M€ de la dotation du fonds de solidarité que le gouvernement a réservé pour venir en aide à ces filières fragilisées.
En 2020, la nutrition animale en France devrait tenir ses volumes juste au-dessus de la valeur socle de 20 Mt, en baisse de 1,5 % par rapport à l’an dernier.
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