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Pourquoi peut-on enfin croire en un vrai plan de relance des protéines végétales ?

Cela fait trois mois qu’a démarré la concertation en vue de l’élaboration d’une stratégie nationale sur les protéines végétales, à finaliser avant fin juin. Un énième plan protéines ? Au contraire, pour la première fois, les acteurs se montrent très confiants.

1Une forte affirmation politique

Le discours du président de la République sur la reconquête de la souveraineté alimentaire au Sia a été vécu comme un signal fort : « Nous devons porter un plan protéines ambitieux à l’échelle du continent pour pouvoir être complètement indépendant et construire la cohérence de nos filières », a-t-il martelé. Un discours qui fait écho à la conférence de Vienne, en novembre 2018, point de départ du débat sur le futur plan protéines européen. En France, la concer­tation nationale, démarrée le 11 février dernier, séduit. Pour Éric Guillemot, directeur de Coop de France Déshydratation, « le ministre a clairement dit dès la réunion de lancement qu’il fallait gagner 10 points d’indépendance protéique, c’est-à-dire passer de 53 à 63 %. Ce ne sera donc pas un plan protéines de moyens comme par le passé, mais un plan de résultats. C’est très courageux. »

2La méthode est appréciée

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