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Conseil et vente phytos  Le Sénat ne veut pas d'une séparation capitalistique

Stéphane Travert a tenté de faire revenir le Sénat à la version des députés, sans succès. L'étude du texte prenant du retard, la fin du feuilleton ne sera peut-être que pour septembre. © SENAT.FR Stéphane Travert a tenté de faire revenir le Sénat à la version des députés, sans succès. L'étude du texte prenant du retard, la fin du feuilleton ne sera peut-être que pour septembre. © SENAT.FR
Stéphane Travert a tenté de faire revenir le Sénat à la version des députés, sans succès. L'étude du texte prenant du retard, la fin du feuilleton ne sera peut-être que pour septembre. © SENAT.FR Stéphane Travert a tenté de faire revenir le Sénat à la version des députés, sans succès. L'étude du texte prenant du retard, la fin du feuilleton ne sera peut-être que pour septembre. © SENAT.FR

Le 2 juillet, les sénateurs ont confirmé en séance plénière leur position sur la séparation du conseil et de la vente : elle ne sera pas capitalistique. Mais à la fin, ce sont les députés qui gagnent. Réactions.

Réunie mi-juin pour examiner la loi EGalim, la Commission des affaires économiques du Sénat avait marqué­ net sa rupture avec les députés, en retoquant la fin des remises sur les phytos et la séparation capitalistique du conseil et de la vente. Le 2 juillet, ces articles ont été soumis en séance plénière au Sénat. Les débats n'ont pas fait bouger la ligne prise en commission.

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