Créé en 1962, par décret du ministère de l'Agriculture, le Groupement national interprofessionnel des semences, qui regroupe aujourd'hui 41 associations ou fédérations professionnelles, pourrait s'ouvrir à d'autres interlocuteurs des semences. « Dans le courant de l'année 2019, nous allons réfléchir au sein de notre interprofession à une modification de notre gouvernance, a expliqué François Desprez, président du Gnis, lors de la conférence annuelle du groupement, le 10 janvier à Paris. Nous pourrions accueillir des associations, comme le syndicat des trieurs à façon qui a fait une demande en ce sens, ou encore l'OPG, émanation de la Coordination rurale (devenue récemment France grandes cultures, ndlr). » Cette réflexion s'inscrit dans le premier axe de travail du plan de filière que le Gnis a remis il y a un an au ministre de l'Agriculture, à savoir mieux répondre aux attentes des citoyens, des consommateurs et des clients. Le Gnis a aussi prévu de se doter d'un comité des enjeux sociétaux qui accueillera des personnalités de la société civile, pour mieux comprendre et intégrer les attentes du grand public et des consommateurs. Il va aussi lancer en février, en collaboration avec Agrocampus Ouest, un Mooc intitulé « Semences végétales, quels enjeux pour notre avenir ? ».
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SEMENCES Le Gnis ose l'ouverture

Dans le courant de 2019, le Gnis va se poser la question d'une ouverture à d'autres associations ou syndicats impliqués dans les semences.
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