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Meunerie Soufflet, GMP et Caproga claquent la porte de l'ANMF

Moulins Soufflet (ici à Corbeil-Essonnes), Grands moulins de Paris, Caproga La Meunière et Moulins Dumée entrent en dissidence et créent l'Association de promotion de la meunerie de France. © R. FOURREAUX Moulins Soufflet (ici à Corbeil-Essonnes), Grands moulins de Paris, Caproga La Meunière et Moulins Dumée entrent en dissidence et créent l'Association de promotion de la meunerie de France. © R. FOURREAUX
Moulins Soufflet (ici à Corbeil-Essonnes), Grands moulins de Paris, Caproga La Meunière et Moulins Dumée entrent en dissidence et créent l'Association de promotion de la meunerie de France. © R. FOURREAUX Moulins Soufflet (ici à Corbeil-Essonnes), Grands moulins de Paris, Caproga La Meunière et Moulins Dumée entrent en dissidence et créent l'Association de promotion de la meunerie de France. © R. FOURREAUX

Ces trois entreprises de meunerie ont quitté le syndicat national ANMF, en désaccord avec l'augmentation substantielle de la CVO farine décidée par ce dernier. Elles viennent de se constituer en association avec les Moulins Dumée.

La coopérative Caproga La Meunière, qui exploite un moulin dans le Loiret, ainsi que deux poids lourds du secteur, Grands Moulins de Paris (Vivescia industries) et Moulins Soufflet, viennent de rompre avec l'Association nationale de la meunerie française (ANMF). Une démission effective au 11 janvier, à la suite d'un « désaccord profond » avec le syndicat de la meunerie.Une multiplication par 25 de la CVOCes trois entreprises regrettent en effet « la décision du conseil d'administration de l'ANMF de proposer une augmentation de la cotisation volontaire obligatoire perçue sur les farines panifiables à hauteur de 5 €/t à compter du 1er juillet 2019 ». Cette CVO était jusque-là fixée à 0,2 €/t et va donc être multipliée par 25.Pour représenter leurs intérêts auprès des pouvoirs publics, ces trois entreprises ainsi que les Moulins Dumée ont créé, le 14 janvier, l'Association de promotion de la meunerie de France, qui plaide pour le maintien de la CVO à son niveau actuel.Cette nouvelle association « dénonce les conséquences particulièrement graves des décisions prises par le conseil d'administration de l'ANMF sur les équilibres financiers des entreprises françaises de la meunerie » et « souhaite défendre un projet à même de renforcer la compétitivité des entreprises de la meunerie de France ».

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