«Aujourd’hui, les données ne sont pas portables entre deux stations météo de marques différentes, car elles ne sont pas standardisées », illustre Sébastien Picardat. En un exemple, le directeur d’Api-Agro a résumé la problématique de beaucoup de données agricoles : elles ne sont ni interopérables, ni portables. Une situation qui va évoluer grâce au projet Numagri, lancé en 2018 par la Fondation Avril, avec la volonté de structurer et d’organiser les flux de données, notamment pour mieux informer le consommateur. « Nous avons beaucoup d’idées d’usages rendus possibles par les données, mais nous sommes confrontés à un problème de standardisation, explique Maximin Charpentier, président de la chambre d’agriculture du Grand Est. L’enjeu, c’est aussi de capter les données par rapport aux Gafa et aux grandes puissances du machinisme. »
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Numagri veut créer un langage commun

Le projet Numagri, porté par la filière agricole, veut standardiser les données pour créer de nouveaux usages, et ainsi revaloriser les productions auprès des consommateurs en leur apportant une information fiable.
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