Gel tardif, déficit hydrique, chaleur excessive… Les effets des facteurs limitants du rendement des cultures liés aux stress abiotiques se multiplient sur fond de dérèglement climatique. Et il est plus que jamais besoin de les déplafonner, sachant que les itinéraires techniques classiques sont mal outillés pour déverrouiller ces sources de stress pénalisantes. Ceci d’autant plus que le recours aux intrants comme l’irrigation, les protections phytopharmaceutiques et les engrais sont de plus en plus limités par la réglementation ou par leur coût. Dans ce contexte, les biostimulants sont une source d’espoir pour permettre de mieux répondre à ces stress abiotiques et optimiser des itinéraires techniques dont les performances sont mises à mal par ailleurs.
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La science se dépense pour les biostimulants

De nouveaux outils et de nouvelles connaissances en science du végétal et en microbiologie sont mis en application dans la conception des nouvelles générations de biostimulants. Ces dernières devront aussi être mieux positionnées dans les itinéraires techniques pour assurer un retour sur investissement maximum.
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