Le plan protéines végétales intégré au plan de relance gouvernemental est doté de 55 M€ par an sur trois ans pour la structuration des filières et les investissements aval. La nutrition animale voudrait bien en profiter, voire grignoter une part des autres 50 M€ du plan de structuration des filières agricoles et agroalimentaires. Quatre axes l’intéressent : la R&D pour accompagner les éleveurs vers plus d’autonomie ; le développement de filières de protéines locales ; les outils de transformation-valorisation de cette protéine locale ; le stockage pour tirer profit de gisements locaux d’opportunité. Valérie Bris, chargée de la coordination de ce dossier à LCA, compte une trentaine de dossiers dans la coopération hors déshydratation de luzerne. Du côté du Snia, on recense une dizaine de dossiers.
L’enjeu protéique est central en nutrition animale. Notre dépendance reste élevée, même si la France se révèle un bon élève dans l’UE. Les fabricants cherchent la valeur ajoutée dans des filières locales et la durabilité des sojas importés.
1999
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