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L’alimentation animale bio s’interroge sur son autonomie protéique

Les pondeuses bio dépendent pour leur consommation à 98 % des fabricants d’aliments. © Y. BOLOH
Les pondeuses bio dépendent pour leur consommation à 98 % des fabricants d’aliments. © Y. BOLOH

Pour assurer un développement cohérent et pérenne des grandes cultures bio françaises capables d’assurer l’alimentation des animaux, le cabinet d’étude Céréopa a établi, à la demande de La Coopération agricole, l’état des lieux de l’approvisionnement des cheptels bio français, présenté mi-novembre.

La France n’est pas autonome en protéines végétales pour son cheptel bio. Si l’offre en céréales bio rattrape la demande, que les mélanges dans les cultures bio progressent ainsi que les surfaces fourragères bio, l’Hexagone est clairement en retard dans les surfaces d’oléoprotéagineux bio.

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