Pour assurer un développement cohérent et pérenne des grandes cultures bio françaises capables d’assurer l’alimentation des animaux, le cabinet d’étude Céréopa a établi, à la demande de La Coopération agricole, l’état des lieux de l’approvisionnement des cheptels bio français, présenté mi-novembre.
La France n’est pas autonome en protéines végétales pour son cheptel bio. Si l’offre en céréales bio rattrape la demande, que les mélanges dans les cultures bio progressent ainsi que les surfaces fourragères bio, l’Hexagone est clairement en retard dans les surfaces d’oléoprotéagineux bio.
Si vous êtes abonné,
cliquez ici
pour vous connecter et poursuivre la lecture
Vous avez lu 11 % de l'article
Poursuivez la lecture de cet article
en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
- Accédez à nos articles
- Profitez du contenu de notre application
- Recevez nos newsletters
- Recevez chez vous 1 numéro de notre revue