Le marché fongicides est en recul en 2018, comme les surfaces, avec toutefois une proportion d'hectares traités identique à  celle de l'an dernier.CHRISTIAN WATIER

Moins de chloro

Sur un marché où les surfaces cultivées sont en forte baisse, le chlorothalonil en solo continue également à reculer au profit des strobilurines.

Pierre-Antoine Lardier, de BASF, confirme l'intérêt grandissant des viticulteurs pour la confusion sexuelle : « Ils apprennent à s'en servir. »CLAUDIUS THIRIET

La fin des néonicotinoïdes

La montée du biocontrôle et le retrait définitif des néonicotinoïdes redistribuent les cartes.

En mars dernier, big bang sur le marché des inhibiteurs d'uréase : InVivo reprend le Nexen de Koch.JFL

Ruée vers les urées améliorées

Soutenus par les prochaines contraintes réglementaires, les inhibiteurs séduisent. Mais ils font l'objet d'une saisine de l'Anses.

Biovitis vient de finir de construire sa deuxième unité, située à Saint-Beauzire (Puy-de-Dôme), et qui sera opérationnelle le 1er décembre.

Biostimulants : la relève

Malgré un contexte réglementaire encore flou, les biostimulants attisent les convoitises.

Le nouveau visage des firmes phytosanitaires

Après de nombreuses réorganisations, les firmes cultivent leurs nouvelles identités articulées autour des derniers besoins agricoles, sociétaux et env ...

Les grandsse réorganisent

Les stratégies des trois nouveaux groupes semenciers mondiaux, Bayer, Corteva Agriscience et BASF, commencent à se préciser.

Semences de France se hisse à la première place en semences grandes cultures et fourragères, et Limagrain (photo) fait de même, toutes espèces confondues, potagères comprises.

Duo de tête inchangé

Semences de France et Limagrain sont toujours n° 1 sur le marché français.

Un sourcing compliqué à sé curiser

Outre les fortes hausses de tout le panier des matières premières, des vitamines aux céréales en passant par les protéines, les fabricants d'aliments ...

Ouestmin : une nouvelle usine de taille

Agrial et DLG ont investi en commun dans l'usine Ouestmin qui vise une production de 50 000 t par an, soit 20 % du marché national des minéraux.

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