Appros

Bayer estime que la part des biosolutions dans ses ventes de produits de protection, devrait passer à 30 % en France d’ici à 2030.

Bayer se dote d’une unité de production en France

Bayer France a inauguré, en octobre dernier, une nouvelle unité de conditionnement de produits de biocontrôle sur le site de son usine de Marle, dans ...

Prélevés sur le résultat 2021-2022, « 8,70 €/t ont été redistribués aux apporteurs et 3,50 €/t mis en réserve », a annoncé Jean-Michel Habig, président de la Cac, le 9 décembre, en AG à Colmar.

La Cac s'appuie sur Area et Ecu pour rassurer

Au sortir d’un exercice 2021-2022 record, la Coopérative agricole de céréales fixe ses priorités : fournir à ses adhérents les intrants nécessaires po ...

Philippe Dessertenne, DG du groupe Lorca, et Christian Sondag, président, ont présenté un bilan positif de l’exercice 2021-2022, le 8 décembre.

Lorca résiste bien à la crise et mise sur le digital

Ce jeudi 8 décembre, le groupe Lorca a annoncé devant la presse avoir réalisé un bon exercice avec un développement des activités Matériaux et énergie ...

Marché à nouveau en baisse

La crise en Ukraine a pénalisé le marché des semences de maïs en 2022, en particulier de maïs grain. Les signaux ne semblent pas plus favorables pour ...

En moyenne, 2,5 Puffer de De Sangosse sont positionnés par hectare. Les halos de phéromone qu'ils émettent permettent une couverture sur l'ensemble de la parcelle.

Le biocontrôle s'impose

Le marché insecticides, en retrait par rapport à 2021, a vu sa valorisation augmenter avec une progression notable des biosolutions.

Gilles Couleaud, d’Arvalis (ici, à g. dans un champ d’essais), confirme : « L’impasse de T1 à nœuds reste la règle. D’après nos calculs, le T1 serait amorti dans 56 % des situations, pour un blé à 30 €/q. » © N. CORNEC/ARVALIS

Fongicides céréales : Arvalis recommande un maintien des doses en 2023

Dans la perspective d’un cours du blé élevé, la protection fongicide reste bien valorisée avec un gain net de plus de 300 €/ha. Les spécialistes d’Arv ...

Les pondeuses bio dépendent pour leur consommation à 98 % des fabricants d’aliments. © Y. BOLOH

L’alimentation animale bio s’interroge sur son autonomie protéique

Pour assurer un développement cohérent et pérenne des grandes cultures bio françaises capables d’assurer l’alimentation des animaux, le cabinet d’étud ...

Une mission est en train d’évaluer les impacts d’un abaissement des seuils de déclaration pour le stockage d’ammonitrate 33,5. © C. FAIMALI

Stockage d’ammonitrate : entre inquiétude et optimisme

La profession des engrais est suspendue aux conclusions à venir d’une nouvelle mission examinant les impacts d’un renforcement de la réglementation su ...

La production européenne d’aliments pour animaux devrait perdre 5 Mt, passant ainsi à 145 Mt en 2022. © Y. BOLOH

Les fabricants d’aliments européens perdent 3,5 % en volumes en 2022

Les fabricants d’aliments pour animaux connaissent une année difficile quasiment partout dans l’Union européenne, selon la Fefac. Le syndicat européen ...

Avant de rejoindre Biovitis, Jacques Esquerré était depuis 2016 directeur général d’Adama France, poste qu’il occupait jusqu’à l’année dernière.

Jacques Esquerré engagé chez Biovitis pour accélérer son déploiement

De Sangosse annonce avoir nommé Jacques Esquerré à la direction opérationnelle et stratégique de Biovitis dans le cadre d’une mission.

L’usine de Phyteurop industries, à Montreuil-Bellay dans le Maine-et-Loire, va participer aux besoins de capacité en production d’Elicit Plant pour ses produits Best-a.

Phyteurop industries va produire du Best-a pour Elicit Plant

La société Phyteurop industries, filiale d’InVivo, a annoncé ce 27 septembre la signature d’un accord avec Elicit Plant pour produire une partie de se ...

Pour Hervé Vasseur, président de Nutrinoë, la tendance au repli des fabrications d’aliments pour animaux devrait se poursuivre. © Y. BOLOH

Nutrition animale : les fabricants bretons encore en retrait

Les fabricants d’aliments bretons, réunis avec leurs fournisseurs à Apigné (Ille-et-Vilaine) pour le Carrefour des matières premières organisé par Nut ...

De gauche à droite : Olivier Gouin, coordinateur régional Ouest du réseau des référents cybermenaces, Amaury Le Néel, chef des divisions opérationnelles à la direction interrégionale de la police judiciaire de Rennes, Christian Cévaër, délégué à la sécurité numérique pour la région Bretagne de l’ANSSI, lors du O’Congrès de Tecaliman, le 12 septembre, à Pont-Péant (Ille-et-Vilaine). © Y. BOLOH

Cyberattaques : un fléau qui frappe aussi les entreprises de la nutrition animale

Tecaliman a consacré son O’Congrès, le 12 septembre, à la cybersécurité. Non pour faire parler des entreprises qui ont subi des attaques, mais bien po ...

Le site historique des Ets Michel spécialisés en nutrition animale, à Saint-Germain-en-Coglès, en Ille-et-Vilaine, va bénéficier de nouveaux investissements grâce aux bons résultats de l’année.

Nutrition animale : le groupe Michel augmente ses volumes de 2 %

Avec 815 578 t d’aliments pour animaux vendues en 2021-2022 contre 797 012 t la campagne précédente, le groupe Michel a affiché le 9 septembre sa bonn ...

La technologie Smart Sprayer cible les applications phytos en différenciant les adventices des plantes cultivées.S. KLEINEWOERDEMANN

Les priorités de BASF

BASF France - division Agro s’engage plus particulièrement cette année sur l’agriculture de précision et l’enjeu climatique.

La marque Primance (aliments basse-cour en sacs de 10 à 25 kg) travaille avec tout le maillage territorial de la distribution agricole.

Nutrilim, la preuve par 4 !

Dans le Limousin, Nutrilim fait vivre ses quatre marques DFP Nutraliance, Aliments Simbélie, Moulin Beynel (bio) et Primance.

Le plan de relance et le plan protéique ont soutenu des investissements en nutrition animale, comme ici la nouvelle ligne de production chez Valorex, inaugurée en mars 2022.

Le marché s’effondre mais les fabricants ne baissent pas les bras

La production française d’aliments pour animaux de rente pourrait perdre plus de 5 % cette année et repasser sous les 19 Mt, au niveau des années quat ...

C’est nouveau

B. CAILLIEZ

Une part de plus en plus belle au désherbage d’automne

Malgré une baisse des surfaces de céréales en 2021-2022, le marché des herbicides s’est conforté, avec des applications d’automne qui continuent à se ...

Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre