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Partager le risque

Nicolas Charpentier, directeur du négoce éponyme, et Mathieu Denier, directeur agrofournitures chez Océalia, lors des 11es rencontres annuelles du biocontrôle au Sival, à Angers.
Nicolas Charpentier, directeur du négoce éponyme, et Mathieu Denier, directeur agrofournitures chez Océalia, lors des 11es rencontres annuelles du biocontrôle au Sival, à Angers. © M. SOULE

Pour accélérer le déploiement du biocontrôle, les acteurs du secteur, dont la distribution agricole, creusent la question de la répartition du risque.

En 2023, les produits de biocontrôle représentaient seulement 9 % du marché phytosanitaire français. Un chiffre qui n’entame pas la détermination d’Alliance Biocontrôle d’atteindre les 30 % d’ici à 2030. Même si « la marche est haute », a reconnu Céline Barthet, la présidente de l’association, lors du Sival 2025, « faire ce constat est aussi un moyen de montrer aux autorités la situation. Il faut sortir de l’incantatoire et passer un peu plus à l’action. » Et le partage du risque entre tous les acteurs de la chaîne de valeur est l’un des leviers à actionner.

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