Contenu réservé

Vivescia étudie la biodisponibilité du phosphore

Les connaissances acquises pendant la thèse conduite par Nicolas Honvault sur le rôle des cultures intermédiaires vis-à-vis du phosphore, permettront à terme d’élaborer un OAD pour piloter la fertilisation phosphatée.
Les connaissances acquises pendant la thèse conduite par Nicolas Honvault sur le rôle des cultures intermédiaires vis-à-vis du phosphore, permettront à terme d’élaborer un OAD pour piloter la fertilisation phosphatée.

Une thèse Cifre réalisée chez Vivescia et UniLaSalle vient de livrer des secrets sur le rôle des cultures intermédiaires dans la biodisponibilité du phosphore dans les sols.

La biodisponibilité limitée du phosphore dans la plupart des sols requiert des apports importants de fertilisants phosphatés pour maintenir une productivité élevée. Plusieurs techniques telles que les couverts intermédiaires peuvent potentiellement augmenter sa disponibilité. Pour connaître l’efficacité de ses pratiques, Vivescia et UniLaSalle ont engagé des travaux via une thèse Cifre conduite par Nicolas Honvault qui vient de se terminer.

211

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
28 %

Vous avez lu 28 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue

Sur le même sujet

Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre