Le problème posé par l'ergot aux hommes ne date pas d'hier : une tablette assyrienne, de 600 avant Jésus-Christ, fait mention d'une « pustule nuisible dans les épis des céréales ». Et il n'est pas sous contrôle partout : en 2001, en Ethiopie, de l'orge contaminée a causé la mort de trois personnes. « L'ergot de seigle, Claviceps purpurea, est un champignon microscopique qui contamine de nombreuses céréales et d'herbes : blé, seigle, avoine, épeautre, vulpin, ray-grass... », expliquait Philippe Pinton, de l'Inra de Toulouse, lors d'une journée Arvalis, le 1er avril à Paris sur le sujet. Il produit des alcaloïdes (ergométrine, ergotamine...) qui sont responsables de sa toxicité. La réglementation est en train de changer (lire le point de vue de Bruno Barrier-Guillot).
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Pour les équipes de collecte des coopératives et négoces Eliminer l'ergot des céréales au silo
L'ergot des céréales est en recrudescence depuis quelques années, et la réglementation sur le sujet est en pleine évolution. Que faire pour gérer les lots contaminés lorsqu'ils arrivent au silo ?
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 Mathieu Callard
              Mathieu Callard
             
              
            