Contenu réservé

391 éleveurs engagés dans le Label bas-carbone

Benoît Leguet, directeur d’I4CE, et Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, ont fait le point sur le Label bas-carbone, sur le stand de l’interprofession laitière, le 23 février au Sia. © CNIEL
Benoît Leguet, directeur d’I4CE, et Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire, ont fait le point sur le Label bas-carbone, sur le stand de l’interprofession laitière, le 23 février au Sia. © CNIEL

391 éleveurs de bovins se sont engagés dans le Label bas-carbone pour un objectif de réduction des GES de 70 000 t de CO2 d’ici 2025.

Lors de sa visite au SIA, le 23 février, Élisabeth Borne a annoncé l’engagement de 391 éleveurs de bovins dans la démarche de labellisation « bas-carbone ». Ce label, créé par le ministère de la Transition écologique et solidaire, en collaboration avec l’Institut de l’économie pour le climat (I4CE), « met en place un cadre innovant et transparent offrant des perspectives de financement à des projets locaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre », explique le ministère dans un communiqué.

167

Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution

Si vous êtes abonné, cliquez ici pour vous connecter et poursuivre la lecture
50 %

Vous avez lu 50 % de l'article

Poursuivez la lecture de cet article

en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
  • Accédez à nos articles
  • Profitez du contenu de notre application
  • Recevez nos newsletters
  • Recevez chez vous 1 numéro de notre revue

Sur le même sujet

Thomas Fleiter, responsable décarbonation agricole, William Huet, directeur agricole, Xavier Astolfi, DG de Cristal Union, et François Thierart, directeur de MyEasyFarm, ont présenté la démarche Cristal Vision empreinte zéro, à l'occasion d'une conférence de presse organisée par la coopérative, mercredi 10 décembre, à Paris.

Cristal Union rémunère la décarbonation

Selon l'AGPB, les importateurs ne prennent plus le risque d’affréter des navires qui pourraient arriver dans les ports au-delà du 1er janvier.

Le couperet du MACF

Ce contenu est réservé aux abonnés d'agrodistribution
Je suis abonné
Je me connecte
Je ne suis pas abonné
Je découvre