Y aura-t-il de l’engrais, non pas dans le ciel de Noël mais dans les ports français, en janvier prochain ? Et ce afin d’assurer la livraison dans les fermes avant la période clé des utilisations. La question, qui pose également celle de la rentabilité des systèmes de grandes cultures et de la capacité de l’agriculture française à subvenir à ses propres besoins, a été soulevée, vendredi 10 octobre, lors d’un point avec la presse organisé par l’Association générale des producteurs de blé (AGPB).

L’Association des producteurs de blé évoque des risques majeurs sur les importations d’engrais avec l’entrée en vigueur du mécanisme d’ajustement carbone aux frontières au 1er janvier prochain.
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