La séparation conseil et vente phytos pourrait bientôt être aménagée. Quatre députés se sont penchés sur la question, et leurs observations sont critiques, avec des effets de bord à corriger « rapidement », notamment le suivi HVE.
« S’il est trop tôt pour revenir sur le principe de la séparation du conseil et de la vente des produits phytopharmaceutiques, il est nécessaire de travailler rapidement à la correction de ses effets de bord », concluent Grégory Besson-Moreau (LREM), Jean-Baptiste Moreau (LREM), Jérôme Nury (LR) et Dominique Potier (PS). Les quatre députés issus de différents partis politiques se sont penchés, dans un rapport d’information, sur la mise en œuvre de la loi EGalim 1. Présentées le 23 février, ses conclusions ont rapidement été éclipsées par le début de la guerre en Ukraine, le lendemain.
Si vous êtes abonné,
cliquez ici
pour vous connecter et poursuivre la lecture
Vous avez lu 26 % de l'article
Poursuivez la lecture de cet article
en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)
- Accédez à nos articles
- Profitez du contenu de notre application
- Recevez nos newsletters
- Recevez chez vous 1 numéro de notre revue