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PHYTOS Sus aux substances préoccupantes

Une partie du plan phytos relève du projet de loi post-EGalim qui doit être présentédébut avrilau Parlement.C. FAIMALI
Une partie du plan phytos relève du projet de loi post-EGalim qui doit être présentédébut avrilau Parlement.C. FAIMALI

Le gouvernement veut s'attaquer aux molécules problématiques, au niveau français et européen. La profession s'inquiète des distorsions de concurrence.

La concertation sur le plan de réduction des phytos du gouvernement Macron se termine début mars (dernières remontéesle 9 mars). Objectif : finaliser le plan, fin mars, pour une présentation début avril des conclusions et des arbitrages. L'examen du projet de loi devrait débuter en avril au Parlement. « Sachant que dans la concertation, il y a des éléments qui seront dans la loi, et d'autres pas. D'autres encore, relèvent de l'échelle européenne », note Damien Mathon, délégué général de la FC2A. Outre l'épineuse question de la séparation entre conseil et vente, le plan se penche sur les « substances les plus préoccupantes pour la santé et l'environnement ». C'est la première des quatre priorités. Les trois autres : compréhension des impacts des phytos sur la santé, recherche d'alternatives, renforcement du plan Ecophyto 2). Plus précisément, cette priorité 1 veut améliorer le dispositif d'évaluation des molécules et des produits formulés.

Les AMM dans le collimateur

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