L'Union française des semenciers a profité de la tenue de son AG, le 16 novembre 2016, à Paris, pour remettre aux personnalités politiques présentes, une feuille de route qui détaille l'ensemble des demandes de ses adhérents. « Dans un contexte économique très difficile (lire AD Spécial Appros, novembre 2016), nous défendons l'accès à l'innovation et notamment aux nouvelles techniques de sélection, a insisté Régis Fournier, président de l'UFS. Nous demandons une coexistence harmonieuse entre les systèmes de protection, COV, certificat d'obtention végétale, et brevet. » Parmi les autres souhaits formulés, l'UFS voudrait aussi que soient reconnues comme innovantes et respectueuses de l'environnement, les solutions de traitement de semences. Régis Fournier, présidait sa dernière AG car les semenciers ont élu un nouveau président, Franck Berger, directeur de la branche potagères du groupe Limagrain.
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SEMENCES L'UFS s'adresse aux politiques
Dans une feuille de route, l'UFS défend un accès aux innovations, aux traitements de semences et à une protection juridique des variétés adaptée.
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