«Aujourd'hui, il y a deux objectifs numéro un : vendre une collecte compliquée et que les agriculteurs sèment dans les meilleures conditions », résume Vincent Magdelaine, directeur de Coop de France Métiers du grain. Si le consensus est total pour dire qu'il ne faut pas hypothéquer la prochaine récolte, réinvestir dans les appros n'est pas facile pour des céréaliers secoués par la moisson catastrophique de l'été. Tous les marchés, engrais, semences et phytos sont touchés (lire aussi p. 16-17). Quant au machinisme, les investissements sont au point mort.
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INTRANTS Appros : la tétanie

La récolte à peine rentrée, il faut penser à la prochaine. Mais il est difficile d'investir pour les agriculteurs, ce qui pèse sur tous les marchés appros.
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