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Centrale d'achat  Union Terres de France se recentre sur ses coopératives fondatrices

Malgré la baisse du volume d'activités liée à la sortie des coopératives bretonnes, Hervé Gauthier, directeur d'Union Terres de France est confiant. « Nous restons la quatrième centrale d'achat française. » Malgré la baisse du volume d'activités liée à la sortie des coopératives bretonnes, Hervé Gauthier, directeur d'Union Terres de France est confiant. « Nous restons la quatrième centrale d'achat française. »
Malgré la baisse du volume d'activités liée à la sortie des coopératives bretonnes, Hervé Gauthier, directeur d'Union Terres de France est confiant. « Nous restons la quatrième centrale d'achat française. » Malgré la baisse du volume d'activités liée à la sortie des coopératives bretonnes, Hervé Gauthier, directeur d'Union Terres de France est confiant. « Nous restons la quatrième centrale d'achat française. »

Le 24 janvier, Union Terres de France lors de son assemblée générale, à Douains (Eure), confirme sa volonté de se recentrer sur un pool de coopératives plus homogènes. En 2015-2016, les ventes d'intrants ont été stables.

Pour 2015-2016, le chiffre d'affaires d'Union Terres de France (UTDF) est stable, autour de 690 millions d'euros de produits vendus aux agriculteurs. Mais pour 2016-2017, ce chiffre devrait diminuer autour de 610 millions d'euros. En effet, la coopérative de Broons et le groupe Cecab sont sortis de l'union au 30 juin 2016. Même si la coopérative La Frandre (groupe Noriap) a intégré l'union à l'été 2016, le volume d'activités devrait réduire de 10 % en 2016-2017.Plus d'homogénéité pour resserrer la gammeCe changement n'inquiète pas Hervé Gauthier, directeur d'Union Terres de France. « Nous recentrons notre centrale d'achat autour de onze coopératives qui ont les mêmes productions, cultures industrielles et grandes cultures, et donc les mêmes besoins en appro. Cette homogénéité nous permet de resserrer notre gamme pour être plus performant. Nous restons la quatrième centrale d'achat française, sur un million d'hectares, en regroupant une grande partie des coopératives indépendantes sur notre territoire dans le Nord, la Normandie et le Centre. »Un volume de ventes stableSi au niveau politique, la volonté affichée est de diminuer l'utilisation des produits phytosanitaires, la réalité du terrain est toute autre. Pour le groupe régional, les ventes sont stables, voire plus élevées en 2016, notamment à cause de la forte pression mildiou. Les ventes d'engrais représentent 43 % du chiffre d'affaires, les phytos, 40 % et les semences, 17 %.L'UTDF poursuit sa collaboration dans le cadre de Sphair (Stratégie phytosanitaire d'alliance interrégionale) pour les achats de traitements de semences et compte optimiser sa position en produits phytos génériques grâce à la nouvelle centrale d'achats de génériques créée par InVivo, appelée Galaxy. L'axe principal de ce groupe régional est de défendre les spécialités. Elle accompagne également ses coopératives adhérentes, avec Coop de France, dans la mise en place des certificats d'économie de produits phytopharmaceutiques (CEPP), en proposant des fiches actions à la commis­sion de validation.

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