Comme les groupes coopératifs voisins, Vivadour est fortement impacté par la crise de l'influenza aviaire qui a touché sa filière palmipèdes gras. La coop a perdu 25 % de sa production du fait du vide sanitaire imposé, soit 500 000 canards, et devrait mettre deux ans à retrouver son potentiel de deux millions de têtes. Tous les maillons de son agrochaîne ont été touchés, de l'accouvage à la commercialisation de son IGP Gers par les Fleurons de Samatan et Gers Distribution, et des canards destinés aux filières Delpeyrat et Comtesse du Barry, dans le cadre de la holding MVVH (Maïsadour, Vivadour, Val de Sèvre).
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Sud-Ouest Vivadour maintient son équilibre

Touchée par la crise de l'influenza aviaire et par une collecte de céréales en recul, Vivadour qui tenait son assemblée générale à Riscle (Gers), le 7 décembre, affiche un chiffre d'affaires de 433 millions d'euros, en recul de 45 M€. Mais le groupe peut compter sur ses autres filières pour remonter la pente.
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