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Ile-de-France Ile de France Sud rejoint Agri-Ethique

Ludovic Brindejonc (directeur d'Agri-Ethique), Mélanie et Pierre Thilloux (boulangers à La Fournée d'Augustine), Jean-Michel Martin (administrateur d'Ile de France Sud), Patrick Beauvillard (directeur commercial d'Ile de France Sud) et Vincent Fouché (Moulins Fouché). © R. FOURREAUX Ludovic Brindejonc (directeur d'Agri-Ethique), Mélanie et Pierre Thilloux (boulangers à La Fournée d'Augustine), Jean-Michel Martin (administrateur d'Ile de France Sud), Patrick Beauvillard (directeur commercial d'Il
Ludovic Brindejonc (directeur d'Agri-Ethique), Mélanie et Pierre Thilloux (boulangers à La Fournée d'Augustine), Jean-Michel Martin (administrateur d'Ile de France Sud), Patrick Beauvillard (directeur commercial d'Ile de France Sud) et Vincent Fouché (Moulins Fouché). © R. FOURREAUX Ludovic Brindejonc (directeur d'Agri-Ethique), Mélanie et Pierre Thilloux (boulangers à La Fournée d'Augustine), Jean-Michel Martin (administrateur d'Ile de France Sud), Patrick Beauvillard (directeur commercial d'Il

La coopérative Ile de France Sud a officialisé, jeudi 29 septembre, à la boulangerie La Fournée d'Augustine, à Paris, son engagement dans la filière Blé Agri-Ethique, alors que cette démarche de commerce équitable fête ses trois ans.

A l'occasion de ses trois ans d'existence, Blé Agri-Ethique, garantissant l'achat aux agriculteurs d'un volume à prix fixe pendant trois ans, arrive pour la première fois en région parisienne. Ceci grâce au partenariat signé avec les Moulins Fouché, la coopérative Ile de France Sud et les boulangeries la Fournée d'Augustine. L'engagement de ces partenaires porte sur 1 500 tonnes de blé payé 180 euros la tonne à l'agriculteur pendant trois ans. A comparer au prix de revient moyen actuel de l'ordre de 165 euros la tonne sur ce territoire.Pérenniser les sociétaires... et la coopérative« Ce pacte nous assure la pérennité de nos 450 agriculteurs sociétaires, se réjouit Patrick Beauvillard, directeur commercial chez Ile de France Sud. En effet, si les agriculteurs continuent à vendre leur blé à 150 euros la tonne, nous allons voir un certain nombre d'entre eux disparaître, et d'autres qui, pour s'en sortir, vont devoir amortir leurs investissements sur des exploitations de taille pharaonique. Ce n'est pas le but de l'agriculture française à mon sens. Notre objectif n'est pas d'être à 250 sociétaires, sinon notre coopérative n'existe plus demain. »

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