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Champagne-Ardenne Acolyance innove pour apporter de la valeur ajoutée à ses adhérents

L'objectif d'Acolyance est d'identifier toutes les pistes possibles pour combler les 150 €/ha de manque à gagner que la Pac pourrait engendrer pour certaines exploitations de la région, a rappelé Pascal Bailleul, directeur général. © C. URVOY L'objectif d'Acolyance est d'identifier toutes les pistes possibles pour combler les 150 €/ha de manque à gagner que la Pac pourrait engendrer pour certaines exploitations de la région, a rappelé Pascal Bailleul, directeur général. © C. URVOY
L'objectif d'Acolyance est d'identifier toutes les pistes possibles pour combler les 150 €/ha de manque à gagner que la Pac pourrait engendrer pour certaines exploitations de la région, a rappelé Pascal Bailleul, directeur général. © C. URVOY L'objectif d'Acolyance est d'identifier toutes les pistes possibles pour combler les 150 €/ha de manque à gagner que la Pac pourrait engendrer pour certaines exploitations de la région, a rappelé Pascal Bailleul, directeur général. © C. URVOY

Lors de son assemblée générale, le 16 décembre, à Reims, la coopérative Acolyance a affiché sa volonté de miser sur l'innovation pour rapporter de la valeur ajoutée sur les exploitations, notamment pour compenser la réduction à venir des aides Pac.

Le 16 décembre, à Reims, Acolyance a mis en perspective ses projets pour apporter de la valeur ajoutée à ses adhérents, lors de son assemblée générale. Toujours à l'affût des nouvelles technologies, la coopérative est ainsi partenaire du projet Crocus porté par Arvalis-Institut du végétal. Objectif : suivre en temps réel la croissance des cultures grâce à des capteurs pour, à terme, améliorer les OAD du marché.Lancement du « projet 150 »La coopérative a également testé pendant une journée un drone pour en comprendre les possibilités, mais aussi les contraintes et les limites. De nouvelles technologies qui aideront peut-être à combler les 150 €/ha de manque à gagner que la Pac pourrait engendrer pour certaines exploitations de la région. Pour y faire face, Acolyance a lancé son « projet 150 » dont l'objectif est d'identifier toutes les pistes possibles pour retrouver ces 150 €/ha à l'horizon 2020.Un club d'hybriculteursStratégique pour Acolyance, l'activité semences de sa filiale Eurosem diversifie sa production industrielle grâce à un partenariat avec Saaten-Union en recherche de capacité de production de semences pour ses blés hybrides. Eurosem pourra ainsi saturer ses deux sites de production de semences dont celui de Soissons, équipé d'un gros trieur optique, qui sera entièrement dédié au blé hybride d'ici à cinq ans.De son côté, Acolyance pourra proposer à ses adhérents de nouveaux contrats de multiplication, source de diversification des assolements et de valeur ajoutée. Elle y a dédié des techniciens semences et créé un club des hybriculteurs pour former les multiplicateurs. « Avec le partenariat conclu avec Saaten-Union, l'activité de prestation de notre filiale Eurosem va monter en puissance et devenir, à terme, sa seconde activité après la production de semences pour nos adhérents », soulignait Pascal Bailleul, directeur général du groupe Acolyance.

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