La loi EGalim comme le cadre européen Farm to Fork insistent sur la montée en gamme des productions agricoles, envisageant un passage de la SAU européenne à 25 % en bio. Mais la question de la valorisation et de l’ajustement de la production à la consommation n’est pas toujours résolue. Ainsi le bio, après les fortes croissances des années précédentes (multiplié par deux toutes productions confondues en 5 ans), marque le pas. Biolait a même lancé cet automne un appel aux consommateurs pour qu’ils soutiennent les éleveurs laitiers. En août 2021, les ventes d’œufs bio ont reculé de 3 %, alors que ceux des poulets élevés au sol (catégorie 2) ont progressé de 13 %. Deux projets d’usines d’aliments bio, celui du groupe Michel et celui de la Cafel (Loué) en commun avec l’Ucab (Le Gouessant), sont reportés d’au moins un an.
Contenu réservé
La montée en gamme piétine
Le bio marque le pas cette année et les filières demandent l’affichage de l’origine des viandes pour soutenir l’élevage hexagonal.
421
Contenu réservé aux abonnés d'Agrodistribution
Si vous êtes abonné,
cliquez ici
pour vous connecter et poursuivre la lecture
34 %
Vous avez lu 34 % de l'article
Poursuivez la lecture de cet article
en profitant de 2 mois de découverte à Agrodistribution
(Offre sans engagement, réservée aux personnes non abonnées)

- Accédez à nos articles
- Profitez du contenu de notre application
- Recevez nos newsletters
- Recevez chez vous 1 numéro de notre revue