Depuis de nombreuses années maintenant, la production française de blé dur n’est pas au rendez-vous. En cause : des aléas climatiques, mais aussi un écart de prix insuffisant avec le blé tendre pour motiver la prise de risque. Ce dernier s’est d’ailleurs encore tassé, « autour de 50 €/t cette campagne », notait Nicolas Prévost (Arterris, Durum), lors de la traditionnelle Journée blé dur d’Arvalis début février.
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Le blé dur pas encore tiré d’affaire
En déclin depuis plusieurs années, le blé dur français perd de son aura au Maghreb.
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