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Le goût des plantes

Lors d’essais menés dans la ferme expérimentale de Nutricia, la mélisse a confirmé son action antioxydante. Thierry Le Quay/Biosphoto
Lors d’essais menés dans la ferme expérimentale de Nutricia, la mélisse a confirmé son action antioxydante. Thierry Le Quay/Biosphoto ©Thierry Le Quay/Biosphoto

La lutte contre l’antibiorésistance accélère l’intérêt de solutions à base de plantes pour soutenir l’animal, prévenir ou lutter contre un problème de santé. Mais le secteur a besoin d’un cadre réglementaire et technique pour éviter les surenchères.

Si certaines plantes sont naturellement interdites en raison de leurs propriétés toxiques dans la nutrition animale, un nombre croissant de produits à base de plantes est utilisé pour soutenir l’immunité des animaux, prévenir, voire lutter contre certaines pathologies. Leur usage a même explosé depuis l’interdiction des antibiotiques facteurs de croissance, puis dans le cadre des programmes de lutte contre l’antibiorésistance, en complément des mesures de biosécurité. « Les produits à base de plantes ont toute leur place pour répondre aux enjeux de santé et de bien-être des animaux d’élevage », résume Géraldine Chanu, directrice de l’Afca-Cial qui fédère les fabricants d’aliments complémentaires, de prémélanges d’additifs et les fournisseurs d’additifs et d’ingrédients fonctionnels.

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