Catastrophique. Tel est le terme utilisé par de nombreux opérateurs pour qualifier les conséquences de la grève à la SNCF. Trois semaines après le début du mouvement, Coop de France recensait une annulation de 60 à 70 % des trains selon les régions. Une fois le créneau passé, il est perdu. Trouver des solutions alternatives pour acheminer les céréales vers les ports et les industriels relève du casse-tête. Un train, c'est 40 à 50 camions, autant de chauffeurs, alors que le transport routier est déjà largement en surchauffe (lire p. 44), et les transporteurs n'hésitent pas à faire flamber les prix, notamment dans l'intérieur des terres.
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GRÈVE SNCF Les céréales restent à quai

Alors que se profile la nouvelle récolte, le débrayage des cheminots asphyxie l'activité des OS, qui commencent à faire leurs comptes.
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