« L'industrie est très concentrée et coops et négoces ne cessent de fusionner, constate Michel Portier, DG d'Agritel. La France est un peu trop petite pour nous. Pour jouer un rôle majeur, il nous faut devenir le numéro 1 en Europe. » Après avoir mené en 2014 ses premières formations en Suède, en Finlande et au Maroc, la société annonce vouloir continuer de développer des partenariats dans différents pays. Le lancement d'une activité en Allemagne à l'automne 2014 est lui vécu comme stratégique. Un site internet dédié y a été déployé, l'application mobile (près de 3 000 connexions par jour en moyenne, à 92 % en France) vient d'être déclinée en langue allemande et les documents administratifs, déjà traduits en anglais, en russe, le sont dorénavant en espagnol et en allemand. Par ailleurs, deux consultants allemands, l'un basé en Allemagne, l'autre à Paris, ont été recrutés. « Les opérateurs allemands utilisent très peu d'outils de couverture. Ils n'ont pas cette culture. Il y avait donc jusque-là assez peu besoin de les accompagner, justifie-t-il. On pense que ça va changer avec le complexe laitier qui sera prochainement lancé sur Euronext (lire p. 42). »
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CONSEIL Agritel parie sur l'Allemagne

En mettant un pied outre-Rhin, le cabinet de conseil Agritel marque une étape pour se mettre en position de leader européen dans son domaine d'ici à 2020.
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