Lundi 9 mars, l’ensemble des cours des matières premières agricoles ont dévissé à la suite de la dégringolade du pétrole et des places financières. Quant aux entreprises du secteur, elles s’efforcent d’anticiper la perspective de l’entrée en phase 3 de l’épidémie, et les agendas commencent à être bousculés.
La crainte d’un ralentissement du commerce mondial provoqué par l’expansion de l’épidémie de coronavirus se faisait déjà sentir sur les marchés des matières premières agricoles depuis quelques semaines. La fébrilité s’était accentuée la semaine dernière, mais la rupture a été atteinte lundi 9 mars, suite au plongeon, de plus de 20 %, du baril de brent, à 35,80 $. Les cours de ce dernier revenant sur leurs plus bas de février 2016.
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