Le 20 décembre, entre deux annonces sur la journée de restitution des EGalim, le ministère de l'Agriculture a abordé la séparation du conseil et de la vente pour les phytos. Elle sera « capitalistique ». Donc, a priori, deux entreprises. Quid alors des tout jeunes CEPP ? « Ils ont été plébiscités, il faut les conserver », explique-t-on au ministère. Il faudra donc trouver une façon d'articuler les deux. Les modalités semblent loin d'être déterminées.
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CONSEIL ET VENTE PHYTOS Une séparation capitalistique, avec les CEPP
L'annonce du gouvernement soulève plus de questions qu'elle n'en règle.
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