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PORC La Cooperl sur le grill

Le 20 août, des éleveurs du marché au Cadran ont investi le site de la Cooperl,  à Lamballe, dénonçant les marques de charcuteries-salaisons s'approvisionnant hors de nos frontières.CLAUDE PRIGENT/LE TÉLÉGRAMME
Le 20 août, des éleveurs du marché au Cadran ont investi le site de la Cooperl, à Lamballe, dénonçant les marques de charcuteries-salaisons s'approvisionnant hors de nos frontières.CLAUDE PRIGENT/LE TÉLÉGRAMME

En se retirant du marché du porc breton le 10 août, la coopérative a mis le feu aux poudres. Décryptage des événements de l'été, loin d'être terminés.

« Les capitaux de la Cooperl [...] n'ont pas vocation à financer un cours politique », annonçait la coopérative dans une lettre à ses adhérents le 6 août, justifiant son retrait du marché du porc breton (MPB) de Plérin, comme Bigard. Elle y achète 10 000 des 110 000 porcs qu'elle abat chaque semaine. « Physiquement, environ 13 % des porcs français y transitent, et le prix influence la quasi-totalité de la production nationale », explique Michel Rieu à l'Ifip. Une décision qui a porté un coup à des éleveurs sous l'eau, qui avaient arraché mi-juin un objectif de cours à 1,40 € (lire p. 52).

« Des pertes colossales »

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