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Réseau Actura renforce les échanges outre-Manche

De gauche à droite, Stewart Woodhead, Dave Blance, Mark Palmer d'Agrovista UK, Lydia Larbi, Angélique Manuel d'Europe Actura, Jean-Paul LEROY de Nord Négoce, Denis Cochet, responsable de l'animation Euro-A-Pro, et Peter Mc Donald d'Agrovista UK. De gauche à droite, Stewart Woodhead, Dave Blance, Mark Palmer d'Agrovista UK, Lydia Larbi, Angélique Manuel d'Europe Actura, Jean-Paul LEROY de Nord Négoce, Denis Cochet, responsable de l'animation Euro-A-Pro, et Peter Mc Donald d'Agrovista UK.
De gauche à droite, Stewart Woodhead, Dave Blance, Mark Palmer d'Agrovista UK, Lydia Larbi, Angélique Manuel d'Europe Actura, Jean-Paul LEROY de Nord Négoce, Denis Cochet, responsable de l'animation Euro-A-Pro, et Peter Mc Donald d'Agrovista UK. De gauche à droite, Stewart Woodhead, Dave Blance, Mark Palmer d'Agrovista UK, Lydia Larbi, Angélique Manuel d'Europe Actura, Jean-Paul LEROY de Nord Négoce, Denis Cochet, responsable de l'animation Euro-A-Pro, et Peter Mc Donald d'Agrovista UK.

Les échanges se sont amplifiés entre les réseaux de négoces français Actura et britanniques Agrovista UK, avec des visites d'essais de part et d'autre de la Manche courant juin, selon un communiqué du 6 juillet d'Euro-A-Pro, joint-venture entre ces deux structures et également BSL Germany en Allemagne.

Une équipe de quatre responsables d'Agrovista UK est venue visiter plusieurs plateformes d'essais en France dont la ferme pilote du groupe Carré. Et réciproquement, ils sont cinq salariés d'Actura à être allés outre-Manche observer la plateforme de 15 000 parcelles d'Agrovista UK près de Birmingham, notamment les essais ayant trait aux diverses solutions pour résoudre la problématique de la résistance du vulpin aux herbicides.L'expertise anglaise en vulpinUne visite d'autant plus intéressante pour les représentants français que les négociants anglais ont « acquis une véritable expertise sur la problématique résistance qui constitue l'une des préoccupations majeures des farmers anglais. En parallèle, l'expertise des équipes françaises sur la problématique fongicide pomme de terre est tout aussi reconnue. Ces échanges entre partenaires prennent alors tout leur sens quand il s'agit de croiser les expertises », précise Denis Cochet, responsable de l'animation d'Euro-A-Pro.Les prochaines rencontres de septembre seront l'occasion de réaliser le bilan des expérimentations et de planifier la stratégie à venir. A partir de ces échanges et de ces partages, Euro-A-Pro souhaite construire les futures solutions communes aux trois structures.

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