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Filières palmipèdes et volailles  Maïsadour investit 3 millions d'euros dans la biosécurité

Au premier plan  : Philippe Carré, DG de Maïsadour, Dominique Graciet, président de la chambre d'agriculture de Nouvelle-Aquitaine, Lionel Causse, député, Stéphane Delpeyrat, conseiller régional, Frédéric Périssat, préfet, Eric Ducos, maire de Mugron, Michel Prugue, président de Maïsadour, Boris Vallaud, député. Au premier plan  : Philippe Carré, DG de Maïsadour, Dominique Graciet, président de la chambre d'agriculture de Nouvelle-Aquitaine, Lionel Causse, député, Stéphane Delpeyrat, conseiller
Au premier plan  : Philippe Carré, DG de Maïsadour, Dominique Graciet, président de la chambre d'agriculture de Nouvelle-Aquitaine, Lionel Causse, député, Stéphane Delpeyrat, conseiller régional, Frédéric Périssat, préfet, Eric Ducos, maire de Mugron, Michel Prugue, président de Maïsadour, Boris Vallaud, député. Au premier plan  : Philippe Carré, DG de Maïsadour, Dominique Graciet, président de la chambre d'agriculture de Nouvelle-Aquitaine, Lionel Causse, député, Stéphane Delpeyrat, conseiller

Maïsadour a inauguré, le 10 novembre, à Mugron (Landes), un site de nettoyage de camions et de caisses de transport d'animaux, un des maillons de son dispositif de biosécurité qui compte une centaine de mesures mises en place.

Les deux crises aviaires qui se sont enchaînées en 2016 et 2017 ont fortement touché les filières palmipèdes gras et volailles du Sud-Ouest. Sur les douze départements touchés, 36,5 millions d'animaux ont été perdus en deux ans, soit parce qu'il a fallu les abattre, soit parce qu'ils n'ont pas pu être mis en production. Chez Maïsadour, qui compte un millier d'éleveurs et de gaveurs, ce sont 12 millions de bêtes qui ont été perdues.Plus loin que l'arrêtéToute la filière met ainsi en oeuvre des dispositifs de sécurité très stricts et renforcés par rapport à l'année dernière, afin de parer à toute nouvelle exposition au virus. « En juillet 2017, un arrêté ministériel était paru, dans le cadre du pacte de reconquête de la filière, dans lequel était reprise une partie des recommandations faites par le Cifog (interprofession du foie gras), rappelle Philippe Carré, directeur général du groupe Maïsadour­. Nous avons voulu aller encore plus loin pour éviter la propagation d'un éventuel virus. »Deux circuits différenciés

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